Le taux «Zucman»: le nouveau visage du populisme économique contre les élites
En février, l'Assemblée nationale française a approuvé une proposition de la loi qui prévoit une taxe de 2% aux capitaux propres des ultra-ups. Cette proposition, faite par l'économiste Gabriel Zucman, Il est très proche de devenir vrai et pourrait également changer l'avenir de la France et des pays européens.
Ce lundi, Sept prix Nobel en économie Ils ont signé leur soutien dans le journal français Le Monde défendant la taxe Zucman en France. Ce type de taux fixe aux actifs des milliardaires pourrait révolutionner la manière de collecter des fonds et d'ouvrir de nouvelles voies à suivre dans toute l'Europe. .
Gabriel Zucman: « Ils pourraient être collectés entre 200 000 et 350 000 millions de dollars par an »
Économiste français Gabriel Zucman, professeur Université américaine de Berkeley, L'auteur de l'étude de la loi a tenté d'expliquer qu'il s'agit d'un type de proposition aiderait à collecter beaucoup d'argent qui servirait à lutter contre la pauvreté et le changement climatique chaque année. Zucman a également présenté son idée au sommet du G20 à Rio de Janeiro.
Cette étude établit que si les près de 3 300 ultra-ups dans le monde paieront l'équivalent de 2% de leurs actifs Ils pourraient lever entre 200 000 et 350 000 millions de dollars par an. Le texte explique que les milliardaires paieraient 2% de leurs actifs chaque année pour compenser et ne pas payer la même chose que les travailleurs modestes.
Selon les experts, les riches de la France contribuent moins au Trésor que les classes moyennes ou les cadres supérieurs par rapport à leurs revenus, car ils trouvent des moyens d'éviter l'impôt sur le revenu, par exemple «la création de la famille».
L'économiste a déclaré que l'interdiction de la diversification des actifs aux États-Unis, là-bas, les milliardaires Ils contribuent en moyenne avec 0,6% de ses actifsen France, ils ne paient que 0,1%.
Vozpopuli a pu parler directement avec Gabriel Zucman qui voulait souligner l'importance de cette loi: « De plus en plus d'études sont que les ultra-ups paient beaucoup moins, par rapport à leur capacité à payer, que le reste de la population. L'idée fiscale minimale: C'est l'outil le plus puissant pour résoudre ce problème, car il arrête toutes les formes d'évasion fiscale en même temps. »
L'économiste français a également voulu clarifier l'injustice budgétaire qui est actuellement présente dans le pays: « Une taxe minimale sur les superristes aborderait cette injustice fiscale: cela garantirait que les super-unités ne paieraient pas moins d'impôts que leurs secrétaires. Mais il ne serait pas suffisant pour arrêter l'inégalité de la richesse, car ils auraient besoin de types plus. »
Actuellement, la loi n'est pas entrée en vigueur, mais selon l'expert, ce sera simplement une question de temps: « Il pourrait être assez rapide (l'Assemblée nationale française a approuvé cette taxe en février, bien qu'elle soit maintenant bloquée par le Sénat), ou cela pourrait prendre plusieurs années.
La gauche pousse à révolutionner
Cette nouvelle mesure est tirée par la gauche, qui souhaite équilibrer le grand déficit qui reste dans l'État: il représente actuellement 5,8% du PIB tandis que le Le pacte de stabilité vous permet d'atteindre jusqu'à 3%. Les riches français ont près de 30% du PIB du pays.
En février, le vote a été dépassé à l'Assemblée française, avec l'abstention de l'extrême droite (RN) et le vote contre la droite et le Centre. Cependant, le projet de loi devrait diminuer au Sénat, une chambre où les conservateurs des républicains sont majoritaires. Zucman ne se conforme pas à révolutionner l'évaluation sur les riches, mais en a d'autres propositions aussi: l'économiste propose de créer un Registre international des actifs financierstout comme il y a des enregistrements de catastrophe ou de propriété. Cela faciliterait la juste imposition.
Zucman doit évidemment défendre les critiques reçues, telles que l'évasion possible des investisseurs étrangers et par conséquent des capitales immortelles pour le pays, mais pour le moment il touchera le Sénat à décider de mettre en œuvre cette loi et de la transformer en réalité.
