Imagen de archivo de la Asamblea francesa - EFE

L'Assemblée nationale française approuve la légalisation de l'euthanasie

La France approuve le Légalisation de l'euthanasie. L'Assemblée nationale française a approuvé mardi, lors de la première lecture, une proposition de la loi qui légaliser et réglementer pour la première fois Euthanasie pour patients incurables qui souffrent de souffrances insupportables.

Le résultat du vote était 305 votes en faveur et 199 contre. Désormais, le texte doit passer par le Sénat avant de retourner à l'Assemblée pour son débat en deuxième lecture, prévisible vers la fin de l'année.

« Il y a encore un Abrom à parcourir« Au Parlement, le ministre de la Santé, Catherine Vautrinqui a opté pour « un consensus » aussi large que possible. Les députés français ont également approuvé à l'unanimité – 560 votes en faveur – une nouvelle proposition de loi visant à garantir l'accès aux soins palliatifs pour tous les patients qui en ont besoin.



L'initiative Euthanasia était soutenu par tout le bloc gauche et le centre lié au président Macron. D'un autre côté, le droit conservateur était principalement contre, bien qu'à certaines exceptions, car les différents partis ont permis à leurs membres de voter librement en fonction de leur conscience. Ce projet législatif a traversé un processus complexe depuis sa création en 2022, qui a été interrompu par les premières élections tenues en 2024.

La nouvelle législation permet d'offrir une aide active pour mourir des patients maladies graves ou incurables Dans un état avancé, à condition qu'ils subissent des douleurs insupportables et peuvent exprimer leur décision librement et consciemment jusqu'à présent dans laquelle la procédure est appliquée.

Les patients du coma ou avec Alzheimer en phase grave sont exclus, même s'ils exprimaient auparavant leur désir d'accéder à l'euthanasie, mais ils ne peuvent plus donner leur consentement clair au moment de l'administration de médicaments mortels, contrairement à ce qui est autorisé dans d'autres pays européens où cette procédure est déjà réglementée.

La demande doit être évalué dans un maximum de quinze jours par une équipe médicale qui agira de manière collégiale. S'il est approuvé, une période de réflexion à deux jours est établie dans laquelle le patient peut se rétracter. Après cela, le processus doit être effectué dans un délai sans dépasser trois mois. Le règlement exige que, en principe, le patient lui-même soit qui a administré la substance mortelle (sous surveillance médicale). Cependant, si vous ne pouvez pas le faire par vous-même, un professionnel de la santé peut s'occuper de l'administration.

Pour les défenseurs de l'euthanasie, la loi est insuffisante et soulève trop d'obstacles; tandis que pour leurs détracteurs, Ça va trop loin. Cependant, les députés en faveur l'ont soutenue franchement, considérant que c'est une amélioration face à la législation actuelle. Le ministre de la Santé a décrit le processus approuvé par l'Assemblée nationale comme « une approche française, stricte et réglementée ».





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