Jordan Bardella et Marine Le Pen

Crise du gouvernement, manifestations, violence et grève: France et Macron avant leur semaine tragique

La France connaîtra à partir de demain un septembre noir qui endommagera son image internationale et affectera sérieusement la crédibilité de son président, Emmanuel Macron. Un autre chef de gouvernement qui se trouve à l'opposition lundi, la menace du blocus violent du pays jeudi, la punition possible de l'agence de notation «Fitch» vendredi et la grève prévue pour 18 tire le moment le plus critique pour l'État-chef de leurs huit années de mandat.

François Bayrou recevra le certificat de décès lundi en tant que Premier ministre des mains d'une assemblée qui n'accepte pas son plan de rigueur crypté à 43,8 milliards de coupures de dépenses publiques, ni son incapacité à négociation, ou son manque de dialogue pendant un été au cours de laquelle il a blâmé l'opposition de «être en vacances».



Bayrou, fervent catholique, peut créer dans des miracles et, même dans la résurrection, mais tous les groupes d'opposition qui l'ont maintenu en vie pendant neuf mois ont confirmé cette semaine qu'ils l'ont déjà considéré enterré avant le vote de confiance qu'il subit lundi.

Lorsque le 25 août, le Bayrou-Centralist a annoncé qu'il serait présenté à un vote de confiance, beaucoup, entre analystes et politiciens, ont qualifié leur décision de «suicide répertorié» ou «opération de Kamikaze». Un vétéran comme lui, adjoint depuis 1986, ministre sous trois gouvernements conservateurs et aspirant frustré à trois reprises à l'Eldeso, ne peut pas être aussi naïf que de penser que dans une hémicycle complètement fragmentée, j'allais pouvoir obtenir une majorité pour continuer à gouverner.

On a ensuite parlé de manœuvres à partir avec la tête élevée du projet Macronista, ayant souligné que c'était le chef du gouvernement qui a parlé plus clairement à ses concitoyens de la gravité des finances de l'État et de la recette pour arrêter leurs chiffres: 3, 3 milliards de dettes (douze millions d'euros chaque heure), 65 000 millions de charges cette année pour cette débt, 5.4 de déficit.

Bayrou fait face aux «baby-boomers» contre les jeunes

Bayrou, qui a soutenu les candidats socialistes dans la présidentielle 2007 et 2012 contre les requérants de la droite traditionnelle et de Macron en 2017, ne peut être présenté comme le champion de «l'ozempique budgétaire» applicable à un État obèse. Dans ses déclarations surprenantes pour justifier son projet budgétaire, la semaine dernière, il a blâmé les «boomers» (sic) de ne pas soutenir les jeunes qui «doivent payer la dette à l'avenir».

Responsable de la génération à la retraite de l'engraissement de la dette, alors qu'au moment, il ne jouissait pas de la semaine de 35 heures ou de 35 jours de vacances ou des garanties actuelles de l'Union était peut-être le dernier clou avec lequel il a fermé son propre cercueil.

Dans les dernières heures avant de voyager à travers le Hall of Death, Bayrou a dédié à certains adversaires déjà: réduction de l'aide médicale gratuite pour les immigrants illégaux, pour attirer le stylo marin à l'abstention; Ouvert à la « taxe pour les riches », pour obtenir le vote socialiste. Un curieux exercice d'étirement de la couverture qui a quitté ou le menton ou les pieds exposés.

IMAGE. Jordan Bardella et Marine Le Pen. Faire un efe

Le président du Centrista Modem Party fait déjà partie de l'histoire du palais Matignon. Il peut continuer comme en charge des problèmes actuels tandis que Macron cherche un nouveau «premier ministre», mais ses aspirations politiques de l'avenir seront déjà fixées sur celles présidentielles de 2027.

Exclusion de la dissolution, pour le moment, Macron, un «consommateur» expert des premiers ministres depuis mai 2017 (Edouard Philippe, Jean Castex, Elisabeth Borne, Gabriel Attal, Michel Barnier et François Bayrou) poussent désormais à l'approche des socialistes, soit en soutenant l'excamior du Parti rose, ou même l'acceptation des membres du PSF actuel.

Macron tourne à gauche: chef du gouvernement socialiste

Dans les piscines des dernières heures, l'un des favoris du président serait l'actuel ministre de l'Économie et des Finances, Eric Lombard, ami personnel du chef des socialistes, Olivier Faure, et l'ancien président du même signe, François Hollande.

Lombard a de l'expérience dans le secteur public et privé et serait beaucoup plus ouvert que Bayrou pour aborder les postulats à gauche, comme l'augmentation des impôts aux « plus favorisés », entre autres. Lombard l'a déjà annoncé: « Si le gouvernement tombe, il y aura les concessions nécessaires à gauche. » Ce serait une solution de continuité avec une certaine ouverture, mais que les socialistes n'accepteraient pas si facilement.

Faure, chef de la PSF, déclare que son parti est prêt à gouverner et a été « disponible pour le chef de l'État ». Mais il prévient, si lui ou une autre figure socialiste devient un nouveau Premier ministre, il sera chef d'un gouvernement de gauche (sans ministres de «l'Insumisa France de Jean-Luc Melenchón»), avec un programme de gauche, l'intention de s'entendre avec le reste des groupes politiques les mesures futures et la promesse de ne pas utiliser l'article 49.3 de la constitution qui permet des factures approuvées sans suivre le vote de l'assemblée.

FAURE has already presented a budget plan for 2026 that includes the usual socialist recipes: more taxes, especially the “rich”, with the application of the so -called “Zucman” rate, by the name of the economist (disciple of the ineffable Thomas Piketty) that proposes a 2% load for citizens with a heritage of more than 100 million euros, the reduction of retirement age of 64 to 64 to 64 years, 64 years La suppression des entreprises aide, lutte contre la fraude budgétaire … combiner la réduction de la dette avec les relations économiques, dit-il. Depuis la réduction de 43,8 milliards de bayrou, les budgets socialistes ne réduiraient les dépenses que pour 21 700 milliards.

Le budget PS prévoit de revenir à 3% du PIB en 2032! Pour le directeur de la rédaction de l'hebdomadaire «L'Express», Eric Chol, le projet de Faure «est une copie du programme Mitterrand de 1981», qui a conduit la France à la catastrophe et a causée, deux ans plus tard, une guérison dure de la rigueur.

Chol ajoute à son dernier éditeur que le «taux de Zucman» entraînerait une évasion des capitaux à l'étranger et la relocalisation de contribuables plus riches.

L'option socialiste n'est pas réaliste, car avec ce projet, il ne dépasserait pas un mouvement de confiance qui ajouterait contre le droit traditionnel, de nombreux centristes, à la droite nationaliste de Le Pen (National Regrouping, «RN») – et son allié Eric Ciotti (républicain Right Union, «UDR») – qui ne veulent que la solution de l'assemblée – et non plus des extrémistes de la mèle -L'alternative de gauche radicale ou réformiste.

Les socialistes savent également que les premières élections signifieraient perdre des députés, car LFI présenterait des candidats contre lui. Les macronistes le résument comme ceci: « Nous savons que le PS ne veut pas de la solution et le PS sait que nous ne voulons pas travailler avec RN, ce qui nous oblige à trouver un accord. »

Dilemme à droite, tandis que les Français veulent un «premier ministre» léséiste

Macron préconise une alliance gouvernementale qui va des républicains (LR) au PS, mais il n'est pas clair que le parti qui représente à la droite, LR, aujourd'hui des alliés du gouvernement avec les macronistes, acceptent de vivre avec une option qui contredit ses principes idéologiques.

Les républicains en ont déjà assez avec la division entre leurs rangs. Bruno Retailleau, son président et aujourd'hui ministre de l'Intérieur, nuancé jeudi dernier, une déclaration de son chef de groupe parlementaire et rival interne, Laurent Wauquie, dans lequel ce dernier a déclaré que LR ne s'opposerait pas, a priori, un gouvernement socialiste.

Retailleau a répondu dans X que si LR avait accepté d'intégrer un gouvernement avec Barnier ou Bayrou, c'était « pour empêcher la gauche de se rendre au pouvoir » et a ajouté que « si un gouvernement socialiste applique une politique contraire aux intérêts de la France, le devoir du droit est de l'empêcher ». D'autres membres de la LR ne verraient pas mal un «remède contre l'opposition» et laisseraient les socialistes et les macronistes s'écraser ensemble. Pour le père spirituel de la droite, Nicolas Sarkozy, la solution est la seule sortie possible.

La fête du Pen, la plus importante de la chambre basse en dehors des alliances, a déjà sauvé Bayrou de la Guillotina. Aujourd'hui, ils parient définitivement sur les premières élections, confiant que cette fois, ils peuvent obtenir la majorité de l'assemblée. L'équipe de tir de Le Pen est déjà prête à inculper tout demandeur de la succession de Bayrou.

Les sondages leur apportent un soutien populaire de 33%. Dans un autre échantillon d'opinion sur la société «Odoxa Backbone Consulting», le favori français du Premier ministre est Jordan Bardella, président du parti léséiste. Dans le RN, ils savent également que les différentes parties de gauche ne seront plus d'accord sur la répartition des circonscriptions électorales, ce qui rendrait difficile le soi-disant «cordon sanitaire» anti-sauve.

Cette semaine également, le chef de la formation sociale-démocrate « Place Publique » (PP), Raphael Glucksman, a confirmé que son parti quitte définitivement toutes les alliances avec Insumisa France de Melenngón. «Place Publique a été la force gauche la plus élue de l'an dernier.

Pour ce faire, et pour forcer la démission improbable du président, Melenngón attire la protestation de 10 s qui, sous la devise « Blockons tout », essaiera de paralyser le pays mercredi prochain, avec la collaboration inestimable des Hordes violentes de l'ultra-left, du « Black-Bloc » et autres.

Les syndicats, quant à eux, ont préféré convoquer leur grève ce mois-ci 18 et ne pas soutenir directement l'initiative de 10 s, bien qu'une partie des organisations syndicales les plus radicales utilisera le «blocus» de mercredi comme réchauffement pour l'action qui tentera de paralyser le pays huit jours plus tard.

Le dernier « Joker » du macron impopulaire, avant la solution

La dissolution précoce incompréhensible que le président a décidé après avoir perdu les élections européennes de juin 2024 a conduit, entre autres problèmes, l'impossibilité de parvenir à des accords transcendantaux pour le pays parmi les différentes forces politiques. Sans majorité, elle est plus que compliquée que les formations avec des idéaux aussi différents peuvent s'entendre sur les budgets, six mois à partir des élections municipales et moins de deux ans pour la présidentielle.

François Bayrou et Emmanuel Macron Image: François Bayrou et Emmanuel Macron. Efe.

Personne ne veut induire en erreur leurs électeurs potentiels avec la violation de leurs programmes et personne ne veut infliger la stigmatisation qui représente déjà une collaboration avec un président brûlé.

Le chef d'État utilisera son dernier «Joker». Si le nouveau chef de gouvernement était démoli comme les deux précédents, il n'aura d'autre choix que d'appeler les sondages, mais veut emmener son pays à une crise institutionnelle ou à une crise du régime, comme écrit dans la «Marianne» hebdomadaire.

Macron n'a que 15% de soutien populaire, en dessous de la crise, vivait dans la protestation des «Gites jaunes», en 2018-2019. Ce manque de confiance de leur administration se reflète dans la majorité des Français qui, avant les élections législatives, préféreraient les élections présidentielles pour oublier une augmentation politique de la criminalité et le trafic de drogue.

En tant que Macron Week de Macron, tandis que l'ombre du FMI survole l'hexagone, l'agence de presse Fitch peut donner un autre dégoût à la « Mozart of Finance » et un grand espoir blanc des libéraux européens. Sans budget et sans gouvernement, il n'est pas non plus prévu de la confiance internationale.





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